A quoi ai-je vu que c’était la rentrée ?
Ce jeudi noir, à 17 heures dans les beaux quartiers de Paris la moche, quand je sors de mon immeuble pour chasser mon petit déjeuner, m'attendent sur le trottoir 40 personnes - moyenne d’âge de 25 ans - me dévisageant avec envie.
L’une de ces belles plantes tentaculaires - 1m80 - s’avance vers moi.
SEB MUSSET
Ah ça non ! Moi c’est Seb Musset : militant virtuel pour l’étatisation de l’immobilier.
Désillusion dans le regard dans la jeune slave. Je comprends trop tard que si j’avais répondu oui, ce soir j’aurais eu le droit à l’open Bar.
SEB MUSSET sourire à la perversité non-équivoque
Mais petite tu veux peut-être mon dernier livre dédicacé ?
Pas de réponse. La lecture pour elle et ses semblables angoissés se limitant au P.A.P qu’ils serrent tous fébrilement. Les mines sont figées et l'ambiance glauque comme un meeting d’experts-comptables fin Novembre à l'etap hotel de Sotteville-les-mines.
Tous ces jeunes sans abris qui s’acharnent à faire des études alors qu’ils pourraient tranquillement rester dans les pavillons de leurs parents à jouer à GTA 4 en bouffant des pizzas voulaient habiter à Paris ! Ils patientent immobiles dans le froid et sous la pluie, tressaillant à peine sous les rafales de blizzard - à Paris l’hiver commence le 16 août - pour visiter la coquette studette à côté de la mienne.
Car oui, j’ai honte. A 36 ans, je vole la place d’un étudiant ! Avec mon loyer à 750 euros pour un 25m2 que je partage avec mon amie - pour l’instant, puisque bientôt nous serons 3 - , je vole une studette - au 4e étage sans ascenseur - qui pourrait être occupée par un honnête étudiant - vraisemblablement stagiaire exploité en parallèle, et encore plus vraisemblablement futur STPIPSRCRSASCAORE : Salarié en temps partiel à intérim précaire sous-rémunéré mais complété par un RSA sous condition d'acceptation d'offre raisonnable d'emploi -.
C’est que j’ai joué du piston et des relations pour habiter ici, grillant au bas mot 300 étudiants sur la liste d’attente. Je suis un monstre.
Dans la studette d’à côté, c’est donc soir de visite.
Arrive au bout d’une heure la jeune rentière en charge du bidule - Bobo trashy-select mash-up de Lou Doillon et de Quitterie Delmas - presque gênée de demander aux 40 personnes s’entassant dans la cage d’escalier de faire moins de bruit. Parce qu’elle est super cool, elle promet que tout le monde pourra visiter. Mais un par un, sinon la studette imploserait.
Comme en plus d’être un monstre, je suis un pervers : j'écoute aux portes. En fait, je n’ai pas de mal : Vu l’épaisseur des cloisons, la studette d’à coté fait quasiment partie de mon salon (lui-même dans la salle de bain). Je profite de ce billet pour rendre hommage à mon ex voisine Brésilienne à l’insatiable libido de braise dont j’ai eu le privilège auditif de profiter des extases orgasmiques la saison dernière.
Bon la visite c’est du vite vu. La studette d’à côté, je la visitai sur invitation brésilienne un jour que mon chat s’égara sur la corniche. Elle est moitié moins grande que la mienne, logique c’est pour une personne. Enfin, c’est chaud tout de même, à la limite des 9m2 minimum requis pour louer, enfin je crois.
Vous me direz, je pourrais mettre un terme au défilé des visites en passant un bon vieux Megadeth sur ma chaîne hifi 3 X 6000 Watts - ouais mon home cinéma "y donne à mort", surtout pour le rendu des basses quand j'me mate Le septième sceau d'Ingmar Bergman depuis les gogues - mais il est sociologiquement intéressant d’entendre l’argumentaire ampoulé que pouvait avancer, en 2008, un exploité à un exploiteur et réciproquement..
J’apprends que le loyer de la studette est de 650 euros et que la jeune rentière le loue presque par philanthropie.
LA JEUNE RENTIÈRE pouffant presque
Hi,hi...Vous savez je loue juste pour payer les charges. Ca coûte tellement cher en entretien ces appartements…
SEB MUSSET dans sa tête et serrant son poing
Grr…Et puis quoi encore, tu veux un Kleenex ? Si c’est trop cher tu n’as qu’à le donner à l’armée du Salut, tu peux pas te gourer c’est à deux rues d'ici sur le chemin du Zadig et Voltaire.
Le va et vient des prétendants à la location devant être armés d’un dossier béton - la jeune philanthrope demandant tout de même 2 garants - dure 2 heures.
LA JEUNE RENTIÈRE
Oui parce que j’ai eu de mauvaises surprises avec le locataire d’avant …
SEB MUSSET dans son poing et serrant sa tête
Tu m’étonnes vu le taudis et vu le tarif, il allait pas t’envoyer une boîte de Mon chéri.
Les rares candidats d’origine française se montrent plutôt écœurés par l’étroitesse du logement face à la largesse de son loyer. A ma grande surprise, ils s'en plaignent à la proprio.
Reste que la majorité des candidats à l’exploitation n’est pas « caucasienne » comme on dit pudiquement aux Etats-Unis.
J’entends des sonorités de l’Est, du Sud de l’extrême sud.
Clou de la visite : Un père algérien. Bien rodé, il arrive en dernier une fois la foule éparpillée et se montre « très intéressé malgré que c’est petit ». Mais l’homme, visiblement ému, se discrédite en multipliant les références et l’arbre professionnel de sa famille sur 3 générations pour que son fils décroche l’appartement.
Après avoir envoyé son fils faire des photocopies du dossier de candidature - préméditation à deux balles dont personne n'est dupe -, j’entends le père qui change de ton, suppliant bientôt la proprio de lui louer la studette.
LA JEUNE RENTIÈRE voix pincée visiblement mal à l’aise
Mais de toutes les façons, je ne peux pas vous donner la réponse maintenant.
En langage proprio ça veut dire : "On ne vous rappellera pas, je préfère que l’arnaque reste entre blancs."
Survient l’imprévu : Le père algérien lui propose une alléchante « majoration du loyer ». Oui, vous avez bien lu : à 650 euros le douze mètre carré, c’est pas encore assez cher !
LA JEUNE RENTIÈRE
Oui mais non, vous savez après ça je vais payer trop d’impôts...
Vous savez à quoi on reconnaît un type - ou une fille - de droite ? Au son merdeux de sa voix, quand il prononce le mot « impôt ». On sent comme une fébrilité au niveau du larynx, comme là avec la proprio de la studette d’à côté. Marche aussi avec le mot « arabe ».
La proprio referme la porte à triple tour vers 20 heures avec finalement peu de dossiers viables sous le bras.
Qu’écrire au terme de cette soirée de visite ?
Que même dans les beaux quartiers de Paris, à la rentrée des pigeons, les marchands de sommeil ne chôment pas.
Qu’ils résistent plutôt bien à la crise de l’immobilier grâce à l’apport régulier en étrangers.
Qu’ils sont propres sur eux, qu’ils ont l’air inoffensif, qu’ils sont parfois des jeunes filles ayant hérité d’un placement de Papa et qu’ils votent sûrement UMP, peut-être MODEM, qu'ils n'aiment probablement pas les immigrés mais que pour payer les loyers c'est quand même bien pratique.
Que ma prochaine voisine sera russe ou polonaise et, qu’une fois de plus, je vais tout connaitre de sa vie sexuelle.
Ce jeudi noir, à 17 heures dans les beaux quartiers de Paris la moche, quand je sors de mon immeuble pour chasser mon petit déjeuner, m'attendent sur le trottoir 40 personnes - moyenne d’âge de 25 ans - me dévisageant avec envie.
L’une de ces belles plantes tentaculaires - 1m80 - s’avance vers moi.
LA TENTATRICE A L’ACCENT POLONAIS ou de province sécessionniste
Vous propriétaire ?SEB MUSSET
Ah ça non ! Moi c’est Seb Musset : militant virtuel pour l’étatisation de l’immobilier.
Désillusion dans le regard dans la jeune slave. Je comprends trop tard que si j’avais répondu oui, ce soir j’aurais eu le droit à l’open Bar.
SEB MUSSET sourire à la perversité non-équivoque
Mais petite tu veux peut-être mon dernier livre dédicacé ?
Pas de réponse. La lecture pour elle et ses semblables angoissés se limitant au P.A.P qu’ils serrent tous fébrilement. Les mines sont figées et l'ambiance glauque comme un meeting d’experts-comptables fin Novembre à l'etap hotel de Sotteville-les-mines.
Tous ces jeunes sans abris qui s’acharnent à faire des études alors qu’ils pourraient tranquillement rester dans les pavillons de leurs parents à jouer à GTA 4 en bouffant des pizzas voulaient habiter à Paris ! Ils patientent immobiles dans le froid et sous la pluie, tressaillant à peine sous les rafales de blizzard - à Paris l’hiver commence le 16 août - pour visiter la coquette studette à côté de la mienne.
Car oui, j’ai honte. A 36 ans, je vole la place d’un étudiant ! Avec mon loyer à 750 euros pour un 25m2 que je partage avec mon amie - pour l’instant, puisque bientôt nous serons 3 - , je vole une studette - au 4e étage sans ascenseur - qui pourrait être occupée par un honnête étudiant - vraisemblablement stagiaire exploité en parallèle, et encore plus vraisemblablement futur STPIPSRCRSASCAORE : Salarié en temps partiel à intérim précaire sous-rémunéré mais complété par un RSA sous condition d'acceptation d'offre raisonnable d'emploi -.
C’est que j’ai joué du piston et des relations pour habiter ici, grillant au bas mot 300 étudiants sur la liste d’attente. Je suis un monstre.
Dans la studette d’à côté, c’est donc soir de visite.
Arrive au bout d’une heure la jeune rentière en charge du bidule - Bobo trashy-select mash-up de Lou Doillon et de Quitterie Delmas - presque gênée de demander aux 40 personnes s’entassant dans la cage d’escalier de faire moins de bruit. Parce qu’elle est super cool, elle promet que tout le monde pourra visiter. Mais un par un, sinon la studette imploserait.
Comme en plus d’être un monstre, je suis un pervers : j'écoute aux portes. En fait, je n’ai pas de mal : Vu l’épaisseur des cloisons, la studette d’à coté fait quasiment partie de mon salon (lui-même dans la salle de bain). Je profite de ce billet pour rendre hommage à mon ex voisine Brésilienne à l’insatiable libido de braise dont j’ai eu le privilège auditif de profiter des extases orgasmiques la saison dernière.
Bon la visite c’est du vite vu. La studette d’à côté, je la visitai sur invitation brésilienne un jour que mon chat s’égara sur la corniche. Elle est moitié moins grande que la mienne, logique c’est pour une personne. Enfin, c’est chaud tout de même, à la limite des 9m2 minimum requis pour louer, enfin je crois.
Vous me direz, je pourrais mettre un terme au défilé des visites en passant un bon vieux Megadeth sur ma chaîne hifi 3 X 6000 Watts - ouais mon home cinéma "y donne à mort", surtout pour le rendu des basses quand j'me mate Le septième sceau d'Ingmar Bergman depuis les gogues - mais il est sociologiquement intéressant d’entendre l’argumentaire ampoulé que pouvait avancer, en 2008, un exploité à un exploiteur et réciproquement..
J’apprends que le loyer de la studette est de 650 euros et que la jeune rentière le loue presque par philanthropie.
LA JEUNE RENTIÈRE pouffant presque
Hi,hi...Vous savez je loue juste pour payer les charges. Ca coûte tellement cher en entretien ces appartements…
SEB MUSSET dans sa tête et serrant son poing
Grr…Et puis quoi encore, tu veux un Kleenex ? Si c’est trop cher tu n’as qu’à le donner à l’armée du Salut, tu peux pas te gourer c’est à deux rues d'ici sur le chemin du Zadig et Voltaire.
Le va et vient des prétendants à la location devant être armés d’un dossier béton - la jeune philanthrope demandant tout de même 2 garants - dure 2 heures.
LA JEUNE RENTIÈRE
Oui parce que j’ai eu de mauvaises surprises avec le locataire d’avant …
SEB MUSSET dans son poing et serrant sa tête
Tu m’étonnes vu le taudis et vu le tarif, il allait pas t’envoyer une boîte de Mon chéri.
Les rares candidats d’origine française se montrent plutôt écœurés par l’étroitesse du logement face à la largesse de son loyer. A ma grande surprise, ils s'en plaignent à la proprio.
Reste que la majorité des candidats à l’exploitation n’est pas « caucasienne » comme on dit pudiquement aux Etats-Unis.
J’entends des sonorités de l’Est, du Sud de l’extrême sud.
Clou de la visite : Un père algérien. Bien rodé, il arrive en dernier une fois la foule éparpillée et se montre « très intéressé malgré que c’est petit ». Mais l’homme, visiblement ému, se discrédite en multipliant les références et l’arbre professionnel de sa famille sur 3 générations pour que son fils décroche l’appartement.
Après avoir envoyé son fils faire des photocopies du dossier de candidature - préméditation à deux balles dont personne n'est dupe -, j’entends le père qui change de ton, suppliant bientôt la proprio de lui louer la studette.
LA JEUNE RENTIÈRE voix pincée visiblement mal à l’aise
Mais de toutes les façons, je ne peux pas vous donner la réponse maintenant.
En langage proprio ça veut dire : "On ne vous rappellera pas, je préfère que l’arnaque reste entre blancs."
Survient l’imprévu : Le père algérien lui propose une alléchante « majoration du loyer ». Oui, vous avez bien lu : à 650 euros le douze mètre carré, c’est pas encore assez cher !
LA JEUNE RENTIÈRE
Oui mais non, vous savez après ça je vais payer trop d’impôts...
Vous savez à quoi on reconnaît un type - ou une fille - de droite ? Au son merdeux de sa voix, quand il prononce le mot « impôt ». On sent comme une fébrilité au niveau du larynx, comme là avec la proprio de la studette d’à côté. Marche aussi avec le mot « arabe ».
La proprio referme la porte à triple tour vers 20 heures avec finalement peu de dossiers viables sous le bras.
Qu’écrire au terme de cette soirée de visite ?
Que même dans les beaux quartiers de Paris, à la rentrée des pigeons, les marchands de sommeil ne chôment pas.
Qu’ils résistent plutôt bien à la crise de l’immobilier grâce à l’apport régulier en étrangers.
Qu’ils sont propres sur eux, qu’ils ont l’air inoffensif, qu’ils sont parfois des jeunes filles ayant hérité d’un placement de Papa et qu’ils votent sûrement UMP, peut-être MODEM, qu'ils n'aiment probablement pas les immigrés mais que pour payer les loyers c'est quand même bien pratique.
Que ma prochaine voisine sera russe ou polonaise et, qu’une fois de plus, je vais tout connaitre de sa vie sexuelle.
10 comments:
750 euros/mois pour 25m2 !? Nom de Dieu ! Je rembourse ma banque 740 euros/mois par acheter un appartement dans le 95 (grande banlieue nord ouest) tout neuf de 71m2 dans lequel je vis seul. J'aurai fini de le payer dans 6 ans, même si je le revends dans 6, 10 ou 15 ans le quart de sa valeur j'en retirerai tout de même quelque chose. De plus, même si le marché immobilier s'écroule, que je revends à vil prix pour racheter dans le sud (simple exemple au hasard) mais aussi à bas prix, le rapport vente/achat s'équilibrera ; je considererai donc que je n'ai pas perdu grand chose. Par contre, effectivement si j'achète cher et que je veux revendre quelques années plus tard lorsque le marché est bas, sans rachat immobilier dans la foulée, effectivement là j'aurai perdu de l'argent. Mais, bof, même dans ce cas là j'aurais tout de même vécu dans un appartement dans lequel je me sens bien. J'en aurais profité, n'est-ce pas cela l'essentiel ?
Malgré ces considérations je suis d'accord avec vous, pour vivre seul dans ce grand appartement j'ai dû me lever tous les matins pour aller bosser depuis plus de 25 ans (j'ai 46 ans), et ça n'a pas toujours été rose. Mais je ne me sens pas floué car j'ai accepté de jouer un jeu dont je connaissais les règles ; j'ai même - à un certain moment de ma carrière - aimé mon travail ! Mais maintenant que je sens que mon stress professionnel augmente, et donc que ça ne "m'amuse" plus, je pense arrêter de travailler dans 4 ou 5 ans (je prédis 4 ou 5 ans car pour l'instant ça reste supportable). Comme dirait je ne sais plus qui, je sens que je commence à "perdre ma vie à la gagner", et à partir de ce moment-là je ne veux plus jouer à ce « jeu ».
Houp !!! Je m'aperçois à la fin que mon commentaire n'a pas grand rapport avec votre billet d'humeur. Tant pis !
Quand on aime on ne compte pas ;)
Naïvement, je pose une question incongrue :
Pourquoi habiter à Paris ?
@Outremeu
Pour eviter de se payer des heures quotidiennes de transport en commun et en plus payer les frais d'une voiture pour faire les courses dans des supermarchés bondés.
merci aka 75 pour cet élément de réponse, cependant ma question était d'ordre plus général :
( Toujours aussi naïvement...)
Pourquoi habiter Paris ET sa région plutôt qu'ailleurs ?
seb...
les voisins aussi...vous entendent !
elle essayait peut être de t' aider,
la braise ilienne...
relax, it's a joke.
moi je paye 550 euros pour 150m²,
en location normande," très bonne isolation phonique ".
mais je préfère affronter ce climat pluvio-venteux, plutôt que me retaper un ulcère lutécien.
pour moi, habiter à paris...
ce n' est pas capital.
tiens, il pleut...ça faisait longtemps...ben hier en fait.
Aller moi aussi je vais y aller de mon petit bout de vie :
Etudiante en fin de parcours, je vis toujours chez papa/maman en (proche) banlieue. J'ai toujours voulu vivre à Paris et à défaut en région parisienne. Comme dans 6 mois je quitte ce petit nid douillet j'ai commencé à m'informer un peu question loyer, charges et m2. J'aime ma vie ici, mais comme moi non plus je ne veux pas "perdre ma vie à la gagner", j'ai décidé qu'une studette parisienne de 10m2 à 750euros ne faisait pas le poids face à un F2 de 50 m2 pour 400 euros à Dax ou Mont-de-Marsan !!
Donc dans 6 mois, ciao la banlieue, les bouchons, la pollution et les 3heures perdues dans le RER-bondé-qui-pue ... moi je me casse bouffer du foie gras et boire de l'Armagnac au grand air, payés avec l'argent que je ne dépenserai jamais dans ma studette parisienne !!
Et comment ils le prononcent le mot "impot" ? ( désolé pour l 'accent manquant sur le haut, mais le pc portable de mon employeur pas français ne me permet pas de les mettre de façon rapide et fcile)
Ils le prononce avec le "o" de "pauvre" ? "impot" "un pauvre" ... meme dégout ?
Il fallait lire sur le "o" et non pas sur le "haut" (fatigué ce soir).
Et félicitations à la futur maman et au futur papa.
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