Vous êtes ou non vacciné, les situations ubuesques entraînées par la mise en place du pass sanitaire vous ulcèrent, vous isolent et vous plongent dans le désarroi et une remise en question complète de votre entourage et de vos habitudes ? Comment peuvent-ils accepter ça ? Collaborer en présentant ce laisser-passer, code numérique de leur liberté conditionnelle ? Se soumettre à une telle bassesse pour un café terrasse, un ciné, un musée ou une bibliothèque ? Ce sont les interrogations de certains d’entre nous depuis quelque temps lorsque nous passons devant ou, mieux grâce à la magie parisienne, à travers une terrasse de covidés de la tête. Et être "en règle" ne change rien. JAMAIS nous ne nous résoudrons à devoir justifier de quoi que ce soit, et encore moins d’un statut vaccinal, pour s’asseoir à une terrasse, avoir accès à la culture, s’alimenter ou se faire soigner. Vous êtes profondément choqués par cette situation ? Rassurez-vous c’est un signe de bonne santé mentale.
Prendre conscience par l’exemple, grandeur nature, qu’on vit au milieu de gens qui n’ont RIEN appris des 18 derniers mois, si ce n’est de se soumettre encore un peu plus à la logique de la brimade servie par le même bourreau, est une expérience étrange qui désarçonne tout autant qu’elle renforce :
1 / On sait exactement à quoi s’en tenir si l’expérience est poussée plus loin : Ces gens sont une menace.
2 / On se sent paradoxalement incroyablement heureux de ne pas être à leur place.
Apparemment, ça leur va.
La paix qui règne dans une société totalitaire s’achète au prix de la mort de l’âme écrivait Bruno Bettelheim.
Néanmoins, d’un point de vue pratique il est de plus en plus compliqué pour les « sans pass » de vivre en société, d’autant que cela touche des amis, parfois, ou des collègues de travail et qu’ils y vont tous de leurs encouragements à la vaccination expérimentale pour vous, et pour
vos enfants tant qu’on y est, d’abord afin de se convaincre eux-mêmes qu’ils ont bien fait de céder et qu’ils ne sont pas des lâches, mais des citoyens responsables et solidaires. Nous allons exposer ici quelques stratégies pour survivre sans pass au milieu des « autres ». Ces stratégies sont variées, certaines peuvent s’additionner, d’autres sont incompatibles, mais on pourra y trouver des "philosophies" de combat, quelques lignes de défense intellectuelles. Car ne nous y trompons pas, il y a une actuellement une guerre morale et sociale menée contre
les hérétiques.
1 - Couper définitivement l’information continue
C’est la première mesure sanitaire qui s’impose, rien de bon pour vous n’en sort.
Nous en sommes là en large partie à cause des médias. Sans les chaînes d’info il n’y aurait eu AUCUNE hystérie sur le Covid. Hélas, le poison est instillé, le mal est fait. Mais, comme la cigarette, la désintoxication individuelle est possible, d’autant qu’on en perçoit très vite les effets positifs. Expérimentez ne serait-ce que trois semaines une diète complète de télévision et de radio d’information (Nous englobons les généralistes) : votre niveau de stress baissera drastiquement. Réduire son exposition d’information officielle aux quelques articles proposés en une de votre smartphone est suffisant pour prendre le pouls de la propagande.
2 - Éviter les discussions inutiles
Pas de discussion – pour le moment – sur le laisser-passer ou les vaccins, avec les pro-vax et autres défenseurs du pass.
Les mots ne pèsent plus. Sauf situation de crise de type " tu viens avec nous on va au ciné ce soir ?" n’entrez pas sur ces sujets trop chauds et clivants pour espérer modifier en quoi que ce soit les opinions des uns et des autres. Certains de vos amis sont temporairement soumis au syndrome de « lavidavanTM » et s’ébattent dans une réalité alternative dans laquelle ils vous englobent. La question de la famille est plus complexe, la fin ferme de toute conversation sur le sujet est la seule solution possible avec vos proches.
3 - Choisir son interlocuteur
C’est l’heure du choix. Et chacun, de part son attitude face au pass, le fait.
Rayez de vos contacts des gens que vous ne comprenez plus ou vous déçoivent. Ne soyez pas malheureux : ce sont eux qui sombrent. Vous n’y pouvez rien pour l’instant, ils sont cuits.
Cela vaut autant pour vos contacts virtuels que réels.
Concentrez-vous sur ceux et celles qui sont « comme vous » sur ce sujet fondamental qu’est la liberté individuelle. Le bon point de la situation, c’est de constater à quel point ce sentiment d’ être seul face aux autres est en fait très répandu et qu’il déborde les cercles traditionnels, il suffit juste de tendre la main. Perdez des amis, renouez avec d’autres, découvrez-en. Cette période est, au fond, une belle histoire humaine.
4 - Faire un pas de côté
On a assez demandé un changement de société sans croire qu’il arriverait un jour. Il est là.
C’est donc l’occasion de "faire le pas de côté". On n’a pas besoin d’une terrasse autorisée pour se rencontrer et passer une bonne soirée. On n’a pas besoin de consommer en centre commercial des biens de " première nécessité". On n’a pas besoin de voyager loin, ou vite, un tour de France peut se faire en TER. On peut se nourrir de façon saine et équilibrée hors des circuits de consommation classique, même en ville (commerces de proximité, AMAP…) Tout cela prendra plus de temps, demandera peut-être plus d’implications, mais offre, aussi d’autres opportunités de socialisation.
5 - Refuser et braver systématiquement l’interdit
C’est une option qui demande un peu de courage, de persévérance et qui
1 / peut se transformer en succès
2 / ne coûte rien en cas d’échec.
Ils seront progressivement remplacés par des machines moins corruptibles, mais pour le moment des humains contrôlent le pass sanitaire.
La transaction est encore possible. Impliquez humainement l’individu qui vous impose un interdit injustifiable moralement. Parlez de vos enfants, des siens, de l’absurdité de la situation. Cela implique d’être calme, de ne jamais hausser le ton, mais d’avoir un regard fixe et insistant. Ce sera l’occasion de tester le haut niveau de solidarité chez vos semblables détenteurs de pass (on va bien se marrer). Au pire vous ferez demi-tour, mais vous ne regretterez pas d’avoir agi ainsi. Filmez ou, mieux, faites filmer ces moments.
Ne pas sous-estimer également
la force de certains commerçants et restaurateurs qui, eux aussi, font le choix de braver l’interdit. Ils sont de plus en plus nombreux, soutenez-les.
Sachez également que ce soit pour l’accès aux magasins d’alimentation, l’accès aux soins, le harcèlement vaccinal au travail sur vous et vos enfants, il y a nombre de textes de lois qui contredisent le bien fondé juridique de ce que nous vivons actuellement. Ce qui nous amène au point 6 :
(non pas ça)
6 - Devenir procédurier
Renvoyez les lieux exigeant le pass, dont certains ont appliqué la mesure avant même que les décrets d’application ne soient publiés, à leur soumission à la loi.
Nous vous renvoyons à
ce guide pratique qui recense courriers et textes juridiques, de stratégies, et qui peuvent être la base de
procédures, correspondances et
recours susceptibles de ralentir, surcharger et de contraindre les établissements en question. De même, joignez-vous aux divers recours juridiques entamés par plusieurs associations et avocats. Ça coûte quelques euros (que vous prélèverez dans vos substantielles économies réalisées grâce à votre mise au ban de la société).
7 - Avancer masqué
Chacun a la liberté de désobéir aux lois injustes déclarait Martin Luther King.
Faux QR codes, fausses certificats et autres " Oh oui monseigneur c’était tellement bon j’ai même pris trois doses de Pfizer et une de Moderna pour le dessert" quand votre patron vous demande – alors qu’il n’en a pas le droit – " Alors Lambert vous vous êtes fait vacciné?". Le mensonge est une option. Elle peut mettre mal à l’aise puisqu’elle va dans le sens du contrôle social et en accrédite la logique, mais elle est finalement à la hauteur morale de la situation. Ces lois sont ignobles et injustes ? Pensez-vous, ces gens sont des fumiers ? Bien. Trichez et méprisez les médiocres avant qu’ils ne se révèlent encore plus dangereux. Si chaque petit bourreau avait refusé de mettre en place ce pass, le truc s’écroulait. Massivement détourné par ses victimes, il n’a plus d’existence.
8 - Militer
Il n’y a rien de plus désagréable que de subir une contrainte injuste et d’avoir le sentiment de ne pouvoir agir dessus.
Si vous ne pouvez appliquer les points précédents ou, à l’inverse, que vous êtes vaccinés mais ulcérés par cette attaque sur nos libertés individuelles et notre intelligence : faites le savoir. C’est le moment où jamais. C'est dans la rue que ça s'passe dit la chanson. Pire que le prosélytisme des vaccinolâtres ou l’infâme propagande médiatique, il y a le silence de ceux qui semblent actuellement vivre sur une autre planète. Joignez-vous aux mobilisations anti-pass, elles sont loin des caricatures qui en sont tirées. L’important est de faire entendre sa colère.
1 / C’est bon pour le moral
2 / je sais de source sûre que le Macron se fait sur lui dès qu’il y a plus de 200 cents personnes à proximité de l’Élysée. Il n’aura pas assez de slips le jour où nous serons un demi-million.
9 - Avoir un projet
Ce confinement à l’envers permet de réfléchir. Mais la réflexion sans l’action, c’est du gâchis, voire de la torture. Quel que soit le domaine, qu’il s’agisse de formation professionnelle, de reconversion, de projets de départ, de passion, de travaux… planifiez des actions. On a un peu trop vite oublié les leçons de vie du premier confinement : l’importance de faire attention à ce qu’on respire, mange, boit, voit, rêve. C’est la plus belle façon de dire merde à la peur, aux ayatollahs de la piquouse et aux obsédés de "lavidavanTM"
10 - Le plus important :
AYEZ CONFIANCE EN VOUS
Les derniers seront les premiers.
C’est le chant du cygne de "lavidavanTM". Les infrastructures et la charpente de nos démocraties s’effondrent sous nos yeux. Cette capitulation des individus face à une guerre engagée contre leurs corps, à travers la vaccination massive et aveugle, ne sera pas sans conséquence morale et physique. Ces conséquences donneront – encore – raison à ceux qui sont décrétés coupables d’avoir tort aujourd’hui. Dites-vous bien qu’avoir traversé cette pandémie sans test, sans tomber malade, sans être vacciné à répétition, avec un corps « bio » et une lucidité sur la situation malgré le harcèlement d’état et la propagande, fait déjà de vous des êtres d’exception amenés à prendre encore plus de valeur avec le temps.
Un ami disait finement : Il y a deux types de gens : ceux qui font comme les autres et les autres.
N'hésitez à poster vos "modes d'action" à vous dans les commentaires et rendez-vous samedi 21 aout dans les rues de France !