Petite diatribe matinale contre les connes du tertiaire qui composent la quasi-intégralité du panel des amitiés d’enfance de Lou. Des filles autrefois drôles, aujourd’hui sans goût ni ambition autre que de construire leur pavillon et de se procurer le dernier dévédé dont leur a rabâché les oreilles à la télé.
Ces salariennes, fonctionnaires du privé, stagnent dans ce qu’elles appellent des jobs, ce que j’appelle une vague affectation d’assistanat logistique à la sous-direction ne demandant aucune qualification si ce n’est une totale soumission. Entres deux tâches inintéressantes assignées par leur boss - cette divinité qui rôde dans les allées du deuxième étage -, elles y végètent dans l’ennui, y photocopiant leurs photos de vacances et surfant sur le net le reste du temps. Une fois le week-end et les RTT, tant espérés la semaine durant, enfin arrivés, elles paradent dans leur entourage féminin sur leurs super carrières en s’identifiant corps et âme aux entreprises réputées dont, à les écouter, elles auraient construit les locaux, inventé les brevets et conçu les stratégies de marketing. Elles pourraient tout à fait torcher avec la même molesse leurs jobs crétins en province dans de petites PMI. Non, il faut le faire à Paris, dans de grands sièges aux noms connus qui claquent dans une conversation de pétasses. Sachant d’instinct que leurs jobs au final ne signifient rien, elles s’identifient aux enseignes dont elles sont les maillons faibles : Grandes banques, média dominant et autres consortiums à forte notoriété. Attendons qu’on les jette, une fois qu’elles seront obsolètes, ce qui vu leur âge - trente trois ans - et l’état du marché - un truc sans pitié basé en gros sur le sexe et la rentabilité - ne devrait pas tarder. Pour le moment, ces ménagères de moins de cinquante ans en attente de renouvellement règnent sur leurs enfants, leurs maris et la civilisation occidentale en général. Pour le moment les connasses qui se pensent éternelles mangent leur pain blanc. Leurs cinq prochaines décades : licenciement, divorce, ménopause et télévision.
Ces salariennes, fonctionnaires du privé, stagnent dans ce qu’elles appellent des jobs, ce que j’appelle une vague affectation d’assistanat logistique à la sous-direction ne demandant aucune qualification si ce n’est une totale soumission. Entres deux tâches inintéressantes assignées par leur boss - cette divinité qui rôde dans les allées du deuxième étage -, elles y végètent dans l’ennui, y photocopiant leurs photos de vacances et surfant sur le net le reste du temps. Une fois le week-end et les RTT, tant espérés la semaine durant, enfin arrivés, elles paradent dans leur entourage féminin sur leurs super carrières en s’identifiant corps et âme aux entreprises réputées dont, à les écouter, elles auraient construit les locaux, inventé les brevets et conçu les stratégies de marketing. Elles pourraient tout à fait torcher avec la même molesse leurs jobs crétins en province dans de petites PMI. Non, il faut le faire à Paris, dans de grands sièges aux noms connus qui claquent dans une conversation de pétasses. Sachant d’instinct que leurs jobs au final ne signifient rien, elles s’identifient aux enseignes dont elles sont les maillons faibles : Grandes banques, média dominant et autres consortiums à forte notoriété. Attendons qu’on les jette, une fois qu’elles seront obsolètes, ce qui vu leur âge - trente trois ans - et l’état du marché - un truc sans pitié basé en gros sur le sexe et la rentabilité - ne devrait pas tarder. Pour le moment, ces ménagères de moins de cinquante ans en attente de renouvellement règnent sur leurs enfants, leurs maris et la civilisation occidentale en général. Pour le moment les connasses qui se pensent éternelles mangent leur pain blanc. Leurs cinq prochaines décades : licenciement, divorce, ménopause et télévision.
1 comments:
Sa fait du bien de lire ça, on dirait Soral qui se lâche.
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