Après avoir piétiné Ségolène, en moins de deux semaines, la France médiatique s’est trouvée sa jolie famille royale : Nicolas, Cécilia et le petit descendant des rois de France, Louis. Le gamin avec sa tête joufflue est un patchwork ricanant de goguenardise et de consanguinité à qui l’on filerait bien sa raclée, comme ça, parce qu’il le vaut bien.
Et voilà notre président qui joggue, joke et prône dans la même phrase ouverture et nationalisme, la suprématie de la France et une Europe forte, mixité et identité nationale, travail puis repos bien mérité, le travail pour les plus feignants et le repos pour les plus rentiers. Le libertaire totalitaire est un zapping fait homme, un concept marketing incantatoire qui malgré sa fausse décontraction, se désespère de tourner ainsi à vide. Alors, il court le furet. Il saute sur tout ce qui bouge avec l’hystérie reconnaissable entre milles de l’abruti sur de lui : Betancourt, Cannes et Guy Moquet se bousculent à la section communication et matraquage de l’Elysée. C’est que notre président n’en peut plus, il attend avec impatience son premier attentat, une émeute au coin du bois ou mieux, une petite fièvre estivale à Téhéran.
La longue attente contente Le Français qui, lui, se satisfait chichement des comptes-rendus de baignade dans le Var de la petite famille du président que nos médias afféodés diffusent désormais en boucle entre deux séries américaines.
La France adore les rois, ses empereurs, en général tout ce qui de prés ou de loin s’apparente à de la graine de dictateur. Gare aux chefs toutefois. Bien manipulé dans l’autre sens, le troupeau bêlant peut leur couper la tête avec le même enthousiasme. Parfois même en moins de cinquante ans !
Et voilà notre président qui joggue, joke et prône dans la même phrase ouverture et nationalisme, la suprématie de la France et une Europe forte, mixité et identité nationale, travail puis repos bien mérité, le travail pour les plus feignants et le repos pour les plus rentiers. Le libertaire totalitaire est un zapping fait homme, un concept marketing incantatoire qui malgré sa fausse décontraction, se désespère de tourner ainsi à vide. Alors, il court le furet. Il saute sur tout ce qui bouge avec l’hystérie reconnaissable entre milles de l’abruti sur de lui : Betancourt, Cannes et Guy Moquet se bousculent à la section communication et matraquage de l’Elysée. C’est que notre président n’en peut plus, il attend avec impatience son premier attentat, une émeute au coin du bois ou mieux, une petite fièvre estivale à Téhéran.
La longue attente contente Le Français qui, lui, se satisfait chichement des comptes-rendus de baignade dans le Var de la petite famille du président que nos médias afféodés diffusent désormais en boucle entre deux séries américaines.
La France adore les rois, ses empereurs, en général tout ce qui de prés ou de loin s’apparente à de la graine de dictateur. Gare aux chefs toutefois. Bien manipulé dans l’autre sens, le troupeau bêlant peut leur couper la tête avec le même enthousiasme. Parfois même en moins de cinquante ans !
1 comments:
Comment dire ? sinon que j'aime. Pour ne pas oublier de revenir je t'ai placé aux côtés d'un autre de mes favoris qui pourrait peut être bien t'intéresser.. Bisous et merci.
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