Nicolas Hulot menace de se présente aux élections présidentielles si aucun des autres candidats ne prend sérieusement en compte ses revendications écologiques. Cette remontée du totalitarisme écologique dans tous les domaines est des plus inquiétantes.
Déjà, et c'est la raison principale car la pollution est insoluble, vouloir contrer la pollution humaine, ce n'est pas imposer le tri sélectif des ordures ménagères et mettre en place des péages automobiles à l'entrée des agglomérations, ce n'est pas non plus de belles phrases, implications terroristes au lyrisme glorifiant ses prophètes à paillettes, c'est, à plus ou moins long terme, aboutir aux contrôles des naissances.
Deuxièmement, la thématique escamote d'une façon radicale en ridiculisant sur le tableau mondial le cas particulier de minorités sociales gesticulant dans le mépris au sein d'une petite nation en déliquescence.
Pour finir, comme si le citoyen téléspectateur n'avait déjà pas assez à trembler face aux banlieues musulmanisées, à la globalisation libérale et à son pouvoir d'achat qui part en fumée, il doit désormais faire attention quand il respire, quand il sort ses poubelles, quand il prend un bain, se lave les dents et fait caca. S'il ne le fait pas pour lui, car pour lui finalement ça va, qu'il le fasse pour ses enfants lui hurlent les ayatollahs verts. Si ce soucis écologique - qui semble répondre à une demande de la population, somatisation de son manque de confiance généralisé - vient s'installer à la table du pouvoir, cela sera l'occasion de mater encore un peu plus les peuples. Après tout, le discours de Sarkozy sur les banlieues, celui de Le Pen sur l'immigration et celui de Lambert Wilson parlant écologie sur le plateau applaudit d'une table ronde people, se ressemblent de prés :
LAMBERT WILSON
Il faut avoir peur.
Je suis bien décidé à contribuer au nettoyage de ce caillou vert, à virer ce chiendent populacier autoproclamé race suprême, race humaine, ce nom me fait horreur. Et si pour cela je dois prendre quatre bains par jour et jeter mes poubelles non triées par la fenêtre, je ferais mon devoir d'individu à conscience propre et non de citoyen à comportement fortement incité.
Déjà, et c'est la raison principale car la pollution est insoluble, vouloir contrer la pollution humaine, ce n'est pas imposer le tri sélectif des ordures ménagères et mettre en place des péages automobiles à l'entrée des agglomérations, ce n'est pas non plus de belles phrases, implications terroristes au lyrisme glorifiant ses prophètes à paillettes, c'est, à plus ou moins long terme, aboutir aux contrôles des naissances.
Deuxièmement, la thématique escamote d'une façon radicale en ridiculisant sur le tableau mondial le cas particulier de minorités sociales gesticulant dans le mépris au sein d'une petite nation en déliquescence.
Pour finir, comme si le citoyen téléspectateur n'avait déjà pas assez à trembler face aux banlieues musulmanisées, à la globalisation libérale et à son pouvoir d'achat qui part en fumée, il doit désormais faire attention quand il respire, quand il sort ses poubelles, quand il prend un bain, se lave les dents et fait caca. S'il ne le fait pas pour lui, car pour lui finalement ça va, qu'il le fasse pour ses enfants lui hurlent les ayatollahs verts. Si ce soucis écologique - qui semble répondre à une demande de la population, somatisation de son manque de confiance généralisé - vient s'installer à la table du pouvoir, cela sera l'occasion de mater encore un peu plus les peuples. Après tout, le discours de Sarkozy sur les banlieues, celui de Le Pen sur l'immigration et celui de Lambert Wilson parlant écologie sur le plateau applaudit d'une table ronde people, se ressemblent de prés :
LAMBERT WILSON
Il faut avoir peur.
Je suis bien décidé à contribuer au nettoyage de ce caillou vert, à virer ce chiendent populacier autoproclamé race suprême, race humaine, ce nom me fait horreur. Et si pour cela je dois prendre quatre bains par jour et jeter mes poubelles non triées par la fenêtre, je ferais mon devoir d'individu à conscience propre et non de citoyen à comportement fortement incité.
1 comments:
bravo.
Enregistrer un commentaire