« Le fascisme peut revenir sur la scène à condition qu’il s’appelle anti-fascisme » Pier Paolo Pasolini
Le "camp du bien" a encore une fois du sang sur les mains. Charlie Kirk, influenceur de droite, père trentenaire de deux jeunes enfants, a été assassiné le 10 septembre dernier en plein meeting dans une université d'Utah sous les yeux de son épouse.
Alors que la presse française redessine déjà une réalité alternative où ce proche de Trump aurait été d'abord victime de lui-même et de ses idées, il s'avère que Charlie Kirk prônait le dialogue avec les gens opposés à ses opinions, et qu'il a construit sa renommée sur ce principe.
Ca lui aura coûté la vie. Les "tolérants" n'ont pas supporté cette liberté d'expression-là.
Et si l'assassinat de Charlie Kirk et les scènes de joie qui ont suivi constituaient le plus gigantesque tir contre leur propre camp des progressistes autoproclamés ?
On en parle dans un numéro spécial de "Jamais Trop Pas Assez" consacré à Charlie Kirk et aux suites de son assassinat, avec Louis Marie et Célina, essayiste, qui s'est penchée sur la rhétorique des opposants à Charlie Kirk, avant et après sa mort. Elle n'a pas changée, en substance : "tout ce qui n'est pas de notre avis est du fascisme, et doit donc être détruit".
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