Voilà, j'étais content. J'avais rédigé ma diatribe quotidienne anti-sarkoziste et porté le point final à mon compte-rendu des comptes-rendus de presse du compte-rendu de Nicolas Sarkozy : un truc énorme avec plein d'adjectifs pédants, peignant au travers d'une habile mise en abyme la connivence à tous les étages de ce type d'évènements mondains. Pour faire court, le seul truc visuel à retenir de cette conférence de presse : Que le souverain et les journalistes étaient tous bien bronzés pour un mois de janvier pluvieux !
Bien ficelé mais poussif et n'apportant rien au débat, j'arrivais à me satisfaire d'un portrait au vinaigre supplémentaire du Roi et de sa cour. A quoi bon ? Suite à une mauvaise manipulation, l'article était effacé avant même sa publication. Il y a encore six mois je l'aurai réécrit dans la foulée. Ce soir, je prends l'"error system" comme un signe. Arrêtons d'en parler, il n'a plus besoin de nous pour se prendre les pieds dans un tapis à l'évidence trop épais pour lui. Le principe de réalité finira bien par coincer le jouisseur incompétent en flagrant délit d'indéfendable médiocrité. Ce soir-là, à renfort d'éditos précis et sourcés, portons-lui le coup de grâce. D'ici là, le peuple va bien finir par se fatiguer d'être jovialement croyant en cette imposture sans retour. A moins que "TF1" ait déjà anéanti tout libre-arbitre ?
Remercions tout de même notre souverain de fédérer, jour après jour, la masse disparate des "anti-lui". Combien de bloggeurs lui doivent une nouvelle jeunesse ! Tous, moi y compris, surfant en mode anti-sarkoziste sur l'océan libéralo-pipole du Roi, mi-troll mi-glamour, au gré du feu d'artifices permanent de ses contradictions, il est vrai anormalement tue par « la presse de palais ».
Au quotidien, du jeune boulanger à ma mère retraitée en passant par quelques trentenaires endettés sur quarante ans, j'assiste avec une certaine joie à la déception teintée de craintes de ces ex-convaincus du « tout est possible ». Et de leur annoncer avec une pointe de sadisme que ce n'est que le début, qu'ils ne comptent pas sur moi ni pour les plaindre, ni pour les épauler dans cette descente aux enfers de la globalisation. J'avais prévenu.
Malgré sa quotidienneté, la naïveté des crédules reste chez moi un élément de fascination. Comme dirait feu Jacques Martin, Les enfants sont formidables.
Bien ficelé mais poussif et n'apportant rien au débat, j'arrivais à me satisfaire d'un portrait au vinaigre supplémentaire du Roi et de sa cour. A quoi bon ? Suite à une mauvaise manipulation, l'article était effacé avant même sa publication. Il y a encore six mois je l'aurai réécrit dans la foulée. Ce soir, je prends l'"error system" comme un signe. Arrêtons d'en parler, il n'a plus besoin de nous pour se prendre les pieds dans un tapis à l'évidence trop épais pour lui. Le principe de réalité finira bien par coincer le jouisseur incompétent en flagrant délit d'indéfendable médiocrité. Ce soir-là, à renfort d'éditos précis et sourcés, portons-lui le coup de grâce. D'ici là, le peuple va bien finir par se fatiguer d'être jovialement croyant en cette imposture sans retour. A moins que "TF1" ait déjà anéanti tout libre-arbitre ?
Remercions tout de même notre souverain de fédérer, jour après jour, la masse disparate des "anti-lui". Combien de bloggeurs lui doivent une nouvelle jeunesse ! Tous, moi y compris, surfant en mode anti-sarkoziste sur l'océan libéralo-pipole du Roi, mi-troll mi-glamour, au gré du feu d'artifices permanent de ses contradictions, il est vrai anormalement tue par « la presse de palais ».
Au quotidien, du jeune boulanger à ma mère retraitée en passant par quelques trentenaires endettés sur quarante ans, j'assiste avec une certaine joie à la déception teintée de craintes de ces ex-convaincus du « tout est possible ». Et de leur annoncer avec une pointe de sadisme que ce n'est que le début, qu'ils ne comptent pas sur moi ni pour les plaindre, ni pour les épauler dans cette descente aux enfers de la globalisation. J'avais prévenu.
Malgré sa quotidienneté, la naïveté des crédules reste chez moi un élément de fascination. Comme dirait feu Jacques Martin, Les enfants sont formidables.
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