Je m’habitue avec une étrange difficulté à la langue française. Etranger partout, je sais désormais ce que ressentent les immigrés sans papiers dans ce pays et, je saisis dans toute sa splendeur la bêtise des hommes politiques sur ce sujet.
Chasser le haut du panier - seuls les plus forts et les plus malins d’entre eux sont arrivés jusqu’à nous – de peuples affamés et ambitieux, qui n’ont rien coûté à la société française - ni éducation, ni frais de santé -, pour satisfaire la xénophobie latente de la classe moyenne française* dans une optique purement électorale est à la fois barbare – mais ça cela devient du détail – et stupide économiquement. La France est loin d’être au niveau d’étranglement de L’Angleterre et pourrait profiter d’un apport de sang neuf dans le débat d’idée. Et puis, quelle hypocrisie ! Ces sans papiers, reconduits à la frontière ou pas, a coups de tapages médiatiques ou non, ces immigrés là sont déjà pris en compte dans le calcul des salaires nationaux. Ils ont, comme en Angleterre, un rôle stratégique : contribuer à la pression vers le bas des rémunérations déjà basses.
* répétons-le jusqu’à ce que mort s’en suive : ce que l’humanité a produit de pire.
Chasser le haut du panier - seuls les plus forts et les plus malins d’entre eux sont arrivés jusqu’à nous – de peuples affamés et ambitieux, qui n’ont rien coûté à la société française - ni éducation, ni frais de santé -, pour satisfaire la xénophobie latente de la classe moyenne française* dans une optique purement électorale est à la fois barbare – mais ça cela devient du détail – et stupide économiquement. La France est loin d’être au niveau d’étranglement de L’Angleterre et pourrait profiter d’un apport de sang neuf dans le débat d’idée. Et puis, quelle hypocrisie ! Ces sans papiers, reconduits à la frontière ou pas, a coups de tapages médiatiques ou non, ces immigrés là sont déjà pris en compte dans le calcul des salaires nationaux. Ils ont, comme en Angleterre, un rôle stratégique : contribuer à la pression vers le bas des rémunérations déjà basses.
* répétons-le jusqu’à ce que mort s’en suive : ce que l’humanité a produit de pire.
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