Réveil sur les infos en boucle de la BBC, un complot terroriste de grande envergure est déjoué à Londres. Il s’agissait de faire exploser dix avions de lignes en direction de New York et Los Angeles.
Voilà, le coup de pouce du destin qui finit de me convaincre. Avec tout le tohu-bohu médiatique continu et les interviews des touristes anglais qui se plaignent que leurs vacances soient annulées, j’en viens à regretter que les bombes n’aient pas explosées. Après tout, ce n’est qu’une réaction normale que quelques bombinettes qui pétaradent dans le ciel d’Europe, chien fidèle des américains, alors qu’elle assiste les bras croisés au génocide libanais en laissant ses politiques se batailler sur la forme et pour la gloire sur la nature des mots à employer dans des traités de paix stériles et bafoués à leur première minute d’application par le peuple élu, l’état barbare d’Israël.
Charles nous rejoint dans la cellule avec un nouveau polo aux couleurs anglaises. Nous allons chercher un shawarma chez le libanais du coin qui me reconnaît et me salue en français. Vingt cinq clients font la ligne dans sa petite boutique, sur qu’ici il n y a aucuns griefs contre les musulmans. Nous retrouvons Djamila dans la soirée et je l’avertis des tentatives d’attentat. Elle retourne ses steaks qui baignent dans l’huile.
DJAMILA
De toutes les façons, c’est mille morts pour mille morts.Voilà, le coup de pouce du destin qui finit de me convaincre. Avec tout le tohu-bohu médiatique continu et les interviews des touristes anglais qui se plaignent que leurs vacances soient annulées, j’en viens à regretter que les bombes n’aient pas explosées. Après tout, ce n’est qu’une réaction normale que quelques bombinettes qui pétaradent dans le ciel d’Europe, chien fidèle des américains, alors qu’elle assiste les bras croisés au génocide libanais en laissant ses politiques se batailler sur la forme et pour la gloire sur la nature des mots à employer dans des traités de paix stériles et bafoués à leur première minute d’application par le peuple élu, l’état barbare d’Israël.
Charles nous rejoint dans la cellule avec un nouveau polo aux couleurs anglaises. Nous allons chercher un shawarma chez le libanais du coin qui me reconnaît et me salue en français. Vingt cinq clients font la ligne dans sa petite boutique, sur qu’ici il n y a aucuns griefs contre les musulmans. Nous retrouvons Djamila dans la soirée et je l’avertis des tentatives d’attentat. Elle retourne ses steaks qui baignent dans l’huile.
DJAMILA
Ron me laisse un message vocal pour le courrier de Lou. Après trois rendez-vous manqués, j’estime que tout cela n’a plus beaucoup d’intérêt. En six mois, j’ai appris à l’oublier. Quelle fumisterie que l’amitié.
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