Les derniers articles du blog

8 novembre 2025

JTPA 24 : Quand la gauche gagne (à tout prix)

par
05.11.2025 // Seb Musset et Louis Marie parcourent l'actu de la semaine dans un nouvel épisode de Jamais Trop pas Assez 📰

🎉La gauche retrouve l'espoir !
Le centre mou gagne les élections législatives en Hollande et, à New-York, le socialiste Zohran Mamdani remporte la mairie de justesse🇺🇸, avec le soutien déterminant des communautés. 

 🇫🇷Pendant ce temps de l'autre côté de l'Atlantique, en France Potemkine...
Les entreprises ferment les unes après les autres dans un climat anxiogène et les centres villes se vident. À l’assemblée nationale, ses députés à 8000 euros par mois (de tous les bords) rivalisent d’ingéniosité pour vous taxer à gogo.

📺 De Paris à New-York, en passant par le cinéma de Peter Watkins et la « lune Castor », nous reviendrons sur ces sujets et d’autres, ainsi que sur vos nombreux commentaires au sujet de la dernière émission. 

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🎸 Retrouvez sur la version podcast, en bonus, la chronique des Losers du Rock de Louis Marie

31 octobre 2025

JTPA 22 : Revue de presse de La Toussaint

par

 
🍿C'est tous les jours Halloween en France Potemkine ! 

Des musées sont pillés, des magazines censurés, des associations subventionnées décident de qui a le droit de s’exprimer ou non, un président en chute libre dans l'opinion se mêle de liberté d’expression sur les réseaux sociaux... 

Pendant ce temps des emplois sont délocalisés, des industries disparaissent tandis qu'un nouveau dispositif bancaire menace de paupériser encore plus les plus démunis. 

Seb Musset et Louis Marie reviennent sur tous ces sujets dans une émission spéciale "Revue de presse de la Toussaint" de Jamais Trop Pas Assez.

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21 octobre 2025

JTPA 21 : Le cinéma français est-il en train de crever ?

par
🎦 En 2024, 309 longs-métrages ont été produits en France. Presque aucun n’est rentable en salles. Pas étonnant, puisque depuis trois ans les salles de cinéma vivent une chute de fréquentation historique. 

Alors que se passe-t-il avec le cinéma français❓

Trop de films ? Pas assez de scénario ? Trop d’argent ? Pas assez ? Des billets trop chers ? Concurrence des écrans et du streaming ? Est-ce que l'épisode du Pass sanitaire a durablement cassé notre rapport aux salles ? 

🎙️Tentatives de réponses avec notre invité Steve Moreau, réalisateur indépendant, dans ce numéro de Jamais Trop Pas Assez entièrement consacré à la crise du cinéma français.

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17 octobre 2025

JTPA 20 : Le retour de l'UMPS !

par

💥16.06.2025 Cette fois c'est la bonne : Le gouvernement Lecornu est le nouveau avant le prochain !

🥈Grâce aux trahisons conjointes des députés socialistes et s LR, prêts à toutes les compromissions pour sauver leur salaire, Lecornu va pouvoir passer son budget magique. 

🎯 Et c’est un vrai budget de France Potemkine ! : 16 milliards de hausse d'impôts, aucune réduction des dépenses publiques et taxes à gogo pour tous, y compris les malades. Vous allez être matraqués et la dette va continuer à gonfler. 🍿

A t-on vraiment les responsables politiques que l’on mérite ? Avec 57% du PIB Français consacrés aux dépenses publiques, soit près du double de la Chine aujourd’hui et du Venezuela sous Chavez, la France est-elle vraiment cet enfer néo libérale tel que nous le dépeint LFI ou un pays sclérosé où jeunes et travailleurs sont sacrifiés pour les boomers ? 

🎙Louis Marie et Seb Musset en discutent dans un Jamais Trop Pas Assez largement consacré au gouvernement Lecornu 2. 

Egalement au menu, la revue de presse hebdo où l'on reparlera d'Anne Hidalgo, des mystères des finances de France Télévision de Diane Keaton et de D'Angelo. 

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14 octobre 2025

JTPA 19 : Lecornu VS. Lecornu, démission impossible

par

11.10.2025 🎤 Emmanuel Macron, grand stratège devant l’éternel, a finalement renommé Sébastien Lecornu comme Premier ministre, 5 jours après sa démission, elle-même consécutive à la composition d’un gouvernement qui aura duré 14 heures. Autant dire qu’on part sur de bonnes bases. 

Alors que ses soutiens d’hier lui tourne le dos, Macron s’accroche à son poste comme une moule sur un rocher. 

 Dans son sillage, la caste des médiocres et des parasites ont cherché toute la semaine à éviter la dissolution pour à s’engraisser sur le dos de la bête, Nous. Socialistes, LR et macronistes : Tous s’accordent sur ce point : ne surtout pas donner la parole au peuple qui pourrait mal voter. 

 Tandis que la France plonge dans les abysses d’une dette qui approche 4000 milliards, il est soudainement question d’annuler l’indispensable réforme des retraites pour ne pas s’attirer les foudres des socialistes. 

 Cette comédie de palais, où on se négocie le pouvoir entre faux ennemis, s’est déroulée bien à l’écart des 2 partis qui représentent à eux seuls plus de la moitié des suffrages populaires. 

 Comment cette farce peut-elle tenir encore ? Y aura t il dissolution avant la Toussaint ? Y aura t il un premier ministre communiste à Noel ? Et faut-il commencer à stocker du petit bois ? 

 C’est de ces questions dont Louis Marie et Seb Musset discutent ce samedi dans un numéro improvisé de Jamais Trop Pas Assez, spécial gouvernement Bis cornu. (Nous avons malheureusement eu un problème de caméra à la dernière minute, ce qui explique le flou sur Seb. Tant pis on a laissé comme ça. C'est la dernière fois c'est promis) 


8 octobre 2025

Macron à la dérive, les rats quittent le navire

par

Après l'annonce de la démission en moins de 14 heures de son troisième Premier ministre en un an, le mythe Macron s’effondre, les rats sentent le vent mauvais.

Maintenant qu’il crève les yeux qu’Emmanuel Macron est en fin de règne, et que 70% des Français souhaitent sa démission : médias, politiciens, influenceurs du système, tels de vulgaires complotistes d’il y a 8 ans, redoublent de tribunes malicieuses et d’effets de manche pour expliquer qu’il est fou, psychopathe et pervers. 

C’est la confirmation du vieux dicton de la communication politique française : je lèche, je lâche, je lynche. 

Côté média de palais, avec huit ans de retard donc, on y va courageusement sur les titres : Le Roi est nu, il est temps qu’Emmanuel Macron s’en aille ! s’amuse-t-on sur BFM en copiant en gros dans ses visuels les propos de Manuel Bompard mais sans préciser que c’est le député LFI qui les tient. LCI titre le promeneur du champ de ruines pour légender le dernier roman photo de la cellule com aux abois de l’Elysée a. Une image où l’on voit le président l’âme en peine errer entre 4 gardes du corps sur les quais de Seine. C’est beau comme un épisode de Princesse Sarah.

Même chez les sbires dociles de la vérité d’Etat, l’AFP, on écrit : conspué par ses opposants, rejeté par l’opinion et maintenant lâché par les siens, Emmanuel Macron est plus seul que jamais à la tête d’une France qui s’enfonce dans la crise politique, sur les cendres du camp présidentiel. Le summum de l’hypocrisie est défoncé, une fois encore, par Libération qui après avoir explicitement appelé ses lecteurs a voté Macron, titre désormais : les incapables, pensant ainsi s’exonérer de sa contribution au désastre qui aura couté huit ans, trois confinements et 1500 milliards aux Français. On est à deux doigts d’un « fact-checking » de Julien Pain nous expliquant pourquoi Macron doit partir. 

Côté classe politique, on sent que les digues craquent même sur la garde rapprochée. Edouard Philippe, patient zéro du macronisme, premier Premier ministre d’une longue série, appelle désormais le président à démissionner (si on m’avait dit ça un jour). Gabriel Attal, bébé éprouvette cloné à la semence présidentielle, commet un parricide et avoue sur le tard « qu’il ne comprend plus les décisions du président de la République ». Alain Minc, le faiseur de roi, celui à l’origine de l’expression « Mozart de la finance » donne le coup de grâce : « EM est le pire président de la Ve et j’ose espérer qu’il n’en est pas le fossoyeur ». Ça veut dire une chose : La caste a peur. Plus personne ne pari sur Macron. Ou alors à la baisse. Ils sont terrifiés qu’il les entraîne dans sa chute. 

Car avec Macron, le jusqu’au boutiste, ce n’est pas seulement le « petit génie » de Rotschild qui peut sombrer, main bien tout ce petit monde en vase clos de la cooptation et des banquettes rembourrées d’hôtels particuliers du centre de Paris. Je ne parle pas de l’élite, mais bien des indispensables intermédiaires, la caste des médiocres et des parasites européistes qui tous, passant sans fin d’un poste à l’autre, n’ont d’autres compétences et projets de carrière que de continuer à s’engraisser sur le dos de la bête, nous

Ils ont détruit notre industrie, saboté nos services publics, nous ont dépossédé de nos frontières, de notre drapeau, de notre culture et de notre histoire. Ils sentent bien, cette fois, que l’heure du grand règlement de compte va sonner. Alors les rumeurs bruissent : dissolution, démission, nouveau nouveau front populaire anti-bruit des bottes à nos portes… et tous pointent Macron comme seul et unique responsable. 

C’est bien vite oublié que la plupart de ces gens ont contribué à cette arnaque. 

C’est bien vite oublié aussi qu’entre le changement et le confort du déni, les Français choisissent systématiquement le candidat du confort et du déni

Réduire les dépenses de l'État ? Seul début de méthode rationnelle pour baisser la dette de 3500 milliards. Avec ces dizaines de millions de Français qui, comme notre élite, mais à leur façon, vivent sur le dos de la bête publique : ça n’arrivera tout simplement pas par la politique. Personne à ce jour, de gauche ou de droite, ne peut être élu sur cette base. Encore moins avec le système des partis qui ne produit in fine que de la médiocrité. 

S’il y a bien une large partie de Français révulsés par l’ordre actuel, la vérité est que de l’élite germanopratine aux rangs des insoumis qui cassent trois vitrines contre le capital entre deux heures de boulot chômé dans l’administration, en passant par les millions de Français qui vivent plus ou moins directement de services, mécanismes, allocations ou marchés publics, la plupart d’entre nous n’avons rien envie de changer et souhaitons continuer de vivre à crédit. Nous sommes l’immobilisme et le manque de courage que nous fustigeons. Macron n’est pas la cause de ce que nous vivons, mais le conséquence de ce que nous voulons. Macron n’est qu’un symptôme. Si ce n’était pas lui ce serait un ou une autre à sa place avec la même politique sur le fond. 

À un moment nous paierons l'addition, avec ou sans lui.


Retrouvez-moi dans le podcast Jamais Trop Pas Assez 

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